Sex in NYC, partie 2 : Le musée du sexe qui retombe comme une bite après l’amour (comme certains vins qui n’ont pas la longueur en bouche désirée. NB : Longueur en bouche, c’est une expression d’œnologue. Ca ne commence pas à 17cm) :

A tout seigneur tout honneur, puisqu’il faut parler sexe (je vous jure, ça m’est pénible. Je ne suis pas habitué !!!), allons y directement :

Adresse : Angle de la 5^ème avenue et de la 27^ème rue

Très cher (17 $ par personne pour moins d’une heure de visite. Pour le même prix vous restez 5 heures au MOMA et 7 au MET) et finalement pas très intéressant. Elle ne vaut que par la section animalière.  Elle éclaire notre vision erronée de la nature (voir le débat sur le mariage pour tous et l’argument de l’homosexualité étant contre nature). Vous y rencontrer des cerfs triolistes, des serpents aux relations génico-buccales, des loutres qui se masturbent, des singes qui sucent, des éléphants sodomites et finalement certains hommes bien sages.

La galerie des mots les plus tapés sur les moteurs de recherche (notamment GOOGLE) vous permet d’enrichir votre vocabulaire sexuel. Certaines pratiques nous étaient complétement inconnues. D’autres sont carrément vomitives. D’autres enfin titillent l’esprit. Et si, et si …

 Quelques photos sympathiques voire émoustillantes, un ALF au nez "phalusé", des instruments de torture sexuelle, une « fucking machine » étrange (un godemichet relié à un vélo.  Pédale, pédale, chéri, je sens que ça vient).

Globalement la visite s’avère décevante. Si un jour de pluie et après 15 jours passés à arpenter la ville vous ne savez que faire, alors warum nicht.