Sex in NYC, partie 4 et fin : Des statues complexes à vous en donner (des complexes)

J’ai été ébahi par les civilisations de l’océan Pacifique (je vous en reparlerai sans doute à l’occasion d’un prochain billet). Leurs masques, leurs pirogues, leurs totems irradient de couleurs vives. Leurs statues sexuées (puisque le thème de cet article est bien le sexe) sont remarquables de modestie !!!! Les sexes masculins y sont longs, larges, exagérés, démesurés, forcés, opulents, gargantuesques, hypertrophiés, bref gros J . Pas de complexes à avoir messieurs, leurs appendices ne sont que de bois. Le vôtre est bien de chair lui.

Seul, au musée du sexe, un homme préhistorique se la joue non seulement modeste mais presque ridicule (voir article sur le musée du sexe).

Finalement, à toute époque, pour toute civilisation, la préoccupation masculine demeure bien la même et la virilité reste immuablement attachée à la taille de la chose. A moins de 20 cm, n’espérez pas à atteindre à la postérité.  Vous ne me croyez pas, regardez cette photo du gisant de Victor LENOIR, ancien journaliste, uniquement connu pour sa virilité posthume sur laquelle les femmes en recherche de maternité viennent se frotter. Un petit tour au Père LACHAISE vous confirmera mes dires. http://blog.localnomad.com/fr/2012/05/31/visites-insolites-du-cimetiere-du-pere-lachaise-a-paris/

Bref, ma chronique sexuelle sur NYC s’achève dans le bois des statues. Elle n’est pas exhaustive. Nous n’étions pas à NEW-YORK pour étudier les us et coutumes de la ville dans ce domaine. D’autres chroniques nous ont, en leur temps (pas si lointain), abreuvé, jusqu’à l’écœurement, d’anecdotes  et reportages  sur un double  acronyme (DSK à NYC).

Bientôt, NYC by night.